Le projet des Ateliers Baltique Méditerranée est né de deux constats :
La Mer Baltique et la Mer Méditerranée constituent toutes deux des ensembles maritimes réellement clos, pris dans leurs rivages. Dans certains états de l’UE, on souhaiterait pouvoir y ajouter peut-être la Mer Noire.
La Baltique et la Méditerranée sont toutes deux d’une grande importance pour l’Union Européenne, qui ne peut construire son bien-être et sa sécurité sans tenir compte du bien-être et de la stabilité de son voisinage.
La Baltique et la Méditerranée sont situées géographiquement à la frontière de l’Union, où il existe une grande différence de niveau de vie entre les populations.
Surtout en Méditerranée, qui regroupe plusieurs civilisations, cette grande différence du niveau de vie est un facteur de tensions qui nourrit les sentiments de pauvreté, les frustrations, la radicalisation et les flux migratoires.
La Baltique et la Méditerranée partagent aujourd’hui des intérêts communs face aux défis des nouvelles exigences économiques, scientifiques, et technologiques, aux évolutions climatiques et environnementales, comme aux risques latents des conflits qui peuvent naître ou renaître.
Les problèmes liés à l’environnement, les transports, la santé, la pêche sont très similaires, aussi bien en Mer Baltique qu’en Méditerranée. Et les autorités compétentes se trouvent confrontées à des problèmes similaires.
De plus, aussi bien la Méditerranée que la Baltique sont situés à proximité d’importantes sources d’énergie.
En Méditerranée, le processus de Barcelone a été lancé en 1995 par l’Europe vers les pays de la Méditerranée. Dès le début, la Finlande a marqué son intérêt pour le processus de Barcelone. Ses résultats ne sont pas négligeables.
De son côté, la Baltique a connu un vigoureux élargissement de l’Europe. Elle comporte 8 pays de l’UE. La Baltique est devenue pratiquement une mer intérieure de l’Union, sauf pour le rivage avec la Russie.
Ainsi nous avançons vers une stratégie de l’UE pour la Baltique, que la Commission profile pour 2009.
La vision de la Finlande pour la Baltique est de parvenir à améliorer la qualité de l’environnement de la mer qui est fort polluée. Ceci comporte un volet important lié au transport maritime.
Notre vision pour la Baltique est aussi celle d’une région dynamique qui se fonde sur le grand marché interne de l’Union, en développant les transports et les systèmes logistiques, les systèmes éducatifs et de recherche, la coopération énergétique, les échanges culturels, les systèmes sociaux et les échanges commerciaux, tout en favorisant le développement des investissements.
Le développement favorable de la Baltique est lié à la coopération avec la Russie, notamment avec les partenariats, dans le domaine de l’environnement, de la santé et des questions sociales.
Quant au financement, il est souhaitable d’utiliser aussi bien les fonds de l’UE, les budgets nationaux, le secteur privé et les Banques de développement régionales.
Ainsi, la Baltique et la Méditerranée comportent plusieurs similitudes. Toutes deux sont d’une importance vitale pour l’UE. Ce serait une grande erreur de les mettre en opposition et il faut des stratégies pour les deux mers si importantes pour le futur de l’Europe.
Les Ateliers comme celui d’aujourd’hui à Marseille sont importants. Je me réjouis que le prochain atelier ait lieu en Finlande, l’année prochaine.
La Mer Baltique et la Mer Méditerranée constituent toutes deux des ensembles maritimes réellement clos, pris dans leurs rivages. Dans certains états de l’UE, on souhaiterait pouvoir y ajouter peut-être la Mer Noire.
La Baltique et la Méditerranée sont toutes deux d’une grande importance pour l’Union Européenne, qui ne peut construire son bien-être et sa sécurité sans tenir compte du bien-être et de la stabilité de son voisinage.
La Baltique et la Méditerranée sont situées géographiquement à la frontière de l’Union, où il existe une grande différence de niveau de vie entre les populations.
Surtout en Méditerranée, qui regroupe plusieurs civilisations, cette grande différence du niveau de vie est un facteur de tensions qui nourrit les sentiments de pauvreté, les frustrations, la radicalisation et les flux migratoires.
La Baltique et la Méditerranée partagent aujourd’hui des intérêts communs face aux défis des nouvelles exigences économiques, scientifiques, et technologiques, aux évolutions climatiques et environnementales, comme aux risques latents des conflits qui peuvent naître ou renaître.
Les problèmes liés à l’environnement, les transports, la santé, la pêche sont très similaires, aussi bien en Mer Baltique qu’en Méditerranée. Et les autorités compétentes se trouvent confrontées à des problèmes similaires.
De plus, aussi bien la Méditerranée que la Baltique sont situés à proximité d’importantes sources d’énergie.
En Méditerranée, le processus de Barcelone a été lancé en 1995 par l’Europe vers les pays de la Méditerranée. Dès le début, la Finlande a marqué son intérêt pour le processus de Barcelone. Ses résultats ne sont pas négligeables.
De son côté, la Baltique a connu un vigoureux élargissement de l’Europe. Elle comporte 8 pays de l’UE. La Baltique est devenue pratiquement une mer intérieure de l’Union, sauf pour le rivage avec la Russie.
Ainsi nous avançons vers une stratégie de l’UE pour la Baltique, que la Commission profile pour 2009.
La vision de la Finlande pour la Baltique est de parvenir à améliorer la qualité de l’environnement de la mer qui est fort polluée. Ceci comporte un volet important lié au transport maritime.
Notre vision pour la Baltique est aussi celle d’une région dynamique qui se fonde sur le grand marché interne de l’Union, en développant les transports et les systèmes logistiques, les systèmes éducatifs et de recherche, la coopération énergétique, les échanges culturels, les systèmes sociaux et les échanges commerciaux, tout en favorisant le développement des investissements.
Le développement favorable de la Baltique est lié à la coopération avec la Russie, notamment avec les partenariats, dans le domaine de l’environnement, de la santé et des questions sociales.
Quant au financement, il est souhaitable d’utiliser aussi bien les fonds de l’UE, les budgets nationaux, le secteur privé et les Banques de développement régionales.
Ainsi, la Baltique et la Méditerranée comportent plusieurs similitudes. Toutes deux sont d’une importance vitale pour l’UE. Ce serait une grande erreur de les mettre en opposition et il faut des stratégies pour les deux mers si importantes pour le futur de l’Europe.
Les Ateliers comme celui d’aujourd’hui à Marseille sont importants. Je me réjouis que le prochain atelier ait lieu en Finlande, l’année prochaine.